Je suis allée la cueillir à la fraîche dans la clairière
Elle était belle, brillante de la rosée du matin
Rosissante, osant à peine dévoiler son cœur aux premiers rayons du soleil
Son parfum encore contenu au creux de ses pétales n’attendait qu’un peu de chaleur pour s’échapper
Blottie en son sein, une petite vie se développait, se gorgeant du pollen de ses profondeurs.
Et la consigne était : « Je suis allée la cueillir à la fraîche dans la clairière » … poursuivre
Atelier d’écriture du samedi matin : Au fil des mots et des couleurs